Le bambou est une espèce forestière définie dans la législation forestière malagasy. La transformation du bambou pour avoir du charbon de bois, des articles artisanaux, des meubles… peut contribuer à la création d’emplois et à l’éradication de la pauvreté de la population rurale. Alors, le Ministère de l’Environnement, de l’Écologie et des Forêts (MEEF) se doit d’être le Lead de la gestion durable des ressources de bambou à Madagascar. De surcroît, « étant membre de l’agence intergouvernementale de l’INBAR (International network for Bamboo and Rattan) des pays utilisateurs du bambou, un atelier est organisé afin d’aborder les avantages comparatifs d’établir une politique nationale sur la chaine de valeur de cette espèce en analysant sa rentabilité économique », a expliqué Lidie RAHARIMANIRAKA, MEEF.
Avec l’INBAR, l’atelier permet d’améliorer les bénéfices sociaux et économiques dérivés du bambou dans une perspective de gestion durable des ressources, en consolidant, coordonnant et soutenant des stratégies adaptées de recherche et de développement.
À titre indicatif, Madagascar est classé comme un pays le plus riche du continent en matière de diversités pour le bambou parce qu’il dispose 32 espèces endémiques de bambou.
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