Le Comité pour les réunions des textes sur le conseil du Fampihavanam-pirenena est réuni. Plusieurs points sont à reconstruire pour le comité de la réconciliation nationale ou FFM, selon MAKA Alphonse, membre de ce comité expert. Auparavant, le comité de la réconciliation nationale n’avait pas la force d’exécuter une amnistie. De surcroît, il ne répand pas dans toute l’ile de Madagascar mais se concentrait au niveau d’Antananarivo. De ce fait, Afin de réparer les erreurs depuis l’existence du FFM défini par la feuille de route et de former un nouveau FFM, le Comité pour les réunions des textes sur le conseil du « Fampihavanam-pirenena » est présent. D’abord, il a pour rôle d’élaborer le projet de loi sur ce contexte.
Il existe déjà un projet de loi préliminaire qui sera proposé au sein de l’Assemblée Nationale et il sera élaboré de nouveau avant qu’il soit définitif.
Dans ce texte, le nouveau FFM définira ce qui doit recevoir le dédommagement, précisera ce qui est la victime et surtout la procédure de l’amnistie à partir d’un décret.
Quand on parle de la réconciliation nationale, le terme « amnistie » ne se séparera avec elle. Cela ne veut pas dire que la réconciliation nationale permet à tous ceux qui ont provoqué un cafouillage politique de ne pas être poursuit par la justice.
Lynda A.