« Depuis mon arrivée à Madagascar, les mots bailleurs de fonds, Communauté Internationale répètent dans les vocabulaires de l’État Malagasy», selon l’Ambassadeur du Maroc durant son discours à Mavoloha. Il a signalé que la base du développement local ne dépend pas de l’extérieur. Il s’agit de la responsabilité de l’État afin d’améliorer la condition de vie de la population Malagasy sans l’assistance Internationale. Dans ce contexte, le Député Brunelle RAZAFITSIANDRAOFA a donné son avis. Il est possible de développer Madagascar sans leur aide si la politique de l’État est forte, appuyée par la majorité de la population Malagasy afin de se protéger aux reproches de l’autre côté puisqu’il perdra ses atouts.
Face à la prestation du Premier Ministre, Jean RAVELONARIVO disant que « les programmes du développement ne produisent de résultats qu’après trois ans ». Cela indique une infidélité envers les Malagasy. Depuis la propagande de l’élection présidentielle, chaque candidat a utilisé tous les mots séduisants pour convaincre les électeurs et quand on a eu le pouvoir, il est difficile de les effectuer. Peut-être que le gouvernement ne prend pas leur responsabilité ? « S’il y a de défaite, ce dernier est le premier responsable car il est les exécuteurs des programmes du Président », explique-t-il. Ainsi, le Président de la République doit contrôler bien même les résultats rendu par la primature. « Il est inutile d’annoncer un discours bien élaboré mais il n’y a pas des résultats répondant aux besoins de la population».
Lynda A.
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