Pour les pays sous-développés, presque le 80% des femmes ne connait pas leurs droits. Cela est dû par un facteur social, culturel ou également familial. Chaque année, l’UNESCO organise et investit à un projet sur l’éducation des femmes en les informant leurs droits dans la vie quotidienne.
L’UNESCO a collaboré avec Gender Links pour réaliser le projet à Madagascar. Elle durera deux jours et vingt et cinq personnes de chaque six provinces bénéficieront cette formation.
Vingt étudiantes de l’Université d’Antananarivo en ont profité. La formation s’est déroulé le mardi dernier à Ankatso. Pendant ce temps, le sujet de discussion se focalise sur la « violence ». On constate que la plupart des violences se manifeste dans la vie familiale.
La violence est basée sur le genre masculin et féminin. Elle se caractérise par physique, psychologique, sexuelle, financière, domestique, verbale,… Beaucoup de femmes ne la connait pas ou même elles savaient mais elles essaient de l’ignorer. « L’ignorance les empêche à développer leurs personnalités ainsi que leurs sociétés » s’exprime le formateur du Gender Links, Rajaovelo Rivonarinjaka.
C’est pour cela cette formation est faite afin d’aider les femmes à connaitre leurs droits. Après la formation, ces étudiantes apprennent ce qu’elles doivent faire. De surcroît, elle a pour but de forger les femmes de devenir un « leader ».
Aussi, la connaissance de droits, surtout les droits des femmes permet à elles d’aller en avant et de participer au développement d’un pays.
Lynda A.
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