Le journalisme d’investigation exige la mise en œuvre d’éthique journalistique en posant des multiples de questions pour que l’information produise des impacts plutôt positifs que négatifs aux intérêts publics. « L’expression « d’intérêt public » signifie soit qu’une communauté serait pénalisée si elle n’était pas informée du fait ou de l’événement en question, soit au contraire qu’elle tirerait profit (d’un point de vue matériel ou bien en se retrouvant en position de prendre des décisions averties) de la mise au jour du dit fait ou événement », selon sand-kas-ten.org.
Ce qui fait que le journalisme d’investigation n’est pas seulement un genre journalistique qui a pour but de fouiller certaines choses cachées et de les révéler pour que les publics sachent mais aussi une méthode d’interpeller les décideurs. Dans le cadre du projet IDIRC financé par Le Fonds de Consolidation de la Paix, l’UNESCO vise à renforcer la capacité des journalistes dans ce type de travail et surtout d’orienter les articles dans un sens plus large en adoptant la valeur d’éthique afin que les produits se basent au journalisme de la paix.
Aujourd’hui, les vingt et cinq journalistes sélectionnés ont dispensé de formation en journalisme d’investigation. Ce troisième jour se fonde au journalisme de la paix.
La formation se terminera le vendredi 07 avril 2017 à l’hôtel Pavé, Antaninarenina.