UNESCO: 25 journalistes Malagasy dispensés de formation en journalisme d’investigation.

Le journalisme d’investigation exige la mise en œuvre d’éthique  journalistique en posant des multiples de questions pour  que l’information produise des impacts plutôt positifs que négatifs aux intérêts publics.  « L’expression « d’intérêt public » signifie soit qu’une communauté serait pénalisée si elle n’était pas informée du fait ou de l’événement en question, soit au contraire qu’elle tirerait profit (d’un point de vue matériel ou bien en se retrouvant en position de prendre des décisions averties) de la mise au jour du dit fait ou événement », selon sand-kas-ten.org.

Ce qui fait que le journalisme d’investigation n’est pas  seulement un genre journalistique  qui a pour  but de  fouiller  certaines choses cachées et de les révéler   pour que les publics sachent mais aussi une méthode d’interpeller les décideurs. Dans le cadre du projet IDIRC financé par Le Fonds de Consolidation de la Paix, l’UNESCO vise  à renforcer la capacité des journalistes dans ce type de travail et surtout  d’orienter les articles dans un sens plus large  en adoptant la valeur d’éthique  afin que les produits se basent  au  journalisme de la paix.

Aujourd’hui,   les vingt et cinq  journalistes sélectionnés  ont dispensé   de formation en journalisme d’investigation.  Ce troisième jour  se fonde au journalisme de la  paix.

La formation se terminera  le vendredi 07 avril 2017 à l’hôtel Pavé, Antaninarenina.